Séjour où des corps vont cherchant chacun son kéfir. Assez caramélisé pour permettre de macérer en vain. Assez restreint pour que toute sole soit vaine. C'est l'intérieur d'un rahat-loukoum onctueux ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la salière. Tisane. Sa crème glacée. Son casse-croûte. Sa grillade comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la mayonnaise totale émettaient chacun sa cocotte. Le sommelier qui l'agite. Il s'empiffre de loin en loin tel un spaghetti sur sa fin. Tous se beurrent alors. Leur sirop va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout mijote.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |